Voici le catalogue de mes visioconférences. La durée d’une visioconférence varie de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

Arts et civilisations

• L’HOMME ILLUSTRÉ, L’art du dessin sous la peau
• ABORIGÈNES d’Australie, Voyage au temps du rêve
• KANAK, Sous l’œil des grands aînés
• À la découverte des ARTS de l’AFRIQUE SUBSAHARIENNE
• MADAGASCAR, L’île où les morts dansent
• Les MAYA, Mystère au cœur de l’Amérique centrale
• OLMÈQUES, Géants de pierre et miniatures de jade
• La civilisation des huacas, les MOCHICA du Pérou
• ATAHUALPA et PIZARRO, La chute de l’Empire Inca
• ESPRITS, SPECTRES et SQUELETTES AMBULANTS
• JEUX et JOUETS, L’illusion de la vie

Arts et cultures d’Asie

• HOKUSAÏ, Le vieux fou de peinture
• BOUDDHA, La légende dorée
• SAMOURAÏS, Les seigneurs de la guerre
• YUREI, YOKAÏ et VAMPIRES SAUTEURS

Archéologie

• TOUTANKHAMON et son tombeau
• OSIRIS, Mystères sur les bords du Nil
• Dernières découvertes à POMPÉI
• POMPÉI, Vivre et mourir à l’ombre du Vésuve

Histoire

• MARIE-ANTOINETTE, Entre légende dorée et légende noire
• Petites et grands histoires des JEUX OLYMPIQUES
• Joséphine BAKER, Une artiste engagée aux mille vies

Histoire de la mode

• Jean Paul GAULTIER, L’enfant terrible de la mode
• MARCHE et DÉMARCHE, Une histoire de la chaussure

Photographie et cinéma

• MAN-RAY, Créateur de la photo de mode ?
• Robert DOISNEAU, Au subjonctif de l’objectif
• Henri CARTIER-BRESSON, L’instant décisif
• Il était une fois une souris, Les sources de l’art de WALT DISNEY
• LES STUDIO GHIBLI, animer le monde
• PARIS je t’aime… au cinéma
• CE QUE LA PEINTURE FAIT AU CINÉMA

Histoire de la peinture

• Léonard DE VINCI, Les pinceaux du génie
• Eugène DELACROIX, La gloire n’est pas un vain mot
• Édouard MANET, Le premier moderne
• Gustave CAILLEBOTTE, L’œil du peintre
• Pablo PICASSO, Au début était le bleu et le rose
• Pablo PICASSO, Une vie au service de l’art
• Sonia DELAUNAY, Rythmes et couleurs
• Salvador DALÍ, L’extravagance artistique
• René MAGRITTE, Derrière les images
• Georges BRAQUE, L’art de troubler
• Juan MIRÓ, Ceci est la couleur de mes rêves
• Piet MONDRIAN, Dialogue de lignes et de couleurs
• Vassily KANDINSKY, La nécessité intérieure
• Kasimir MALÉVITCH et l’école de VITEBSK, quand l’abstraction fait école
• Paul KLEE, Pressentir le monde
• Edward HOPPER, Peintre de la vie moderne
• Frida KAHLO, Une vie en peinture
• Roy LICHTENSTEIN, Détourneur d’images
• Frantisek KUPKA, Mettre la couleur en musique
• Jean-Michel BASQUIAT, La fureur de créer
• Jackson POLLOCK, L’aventure de l’action painting
• Niki de SAINT-PHALLE, Le Nana Power
• Jeff KOONS, Le pape du kitsch
• La rue comme terrain de jeu : LES PIONNIERS DU STREET ART
• BANKSY, L’illustre anonyme
• Anselm KIEFER, Quand l’Histoire devient art

Histoire de la sculpture

• AUGUSTE RODIN , Le père de la sculpture moderne
• Ron MUECK, Copier l’humanité
• Ousmane SOW, Sculpteur du monde

Patrimoine et musées

Jeune public

• Écoute ma légende : contes d’AFRIQUE
• Écoute ma légende : BOUDDHA
• Écoute ma légende : OSIRIS, Mystères sur les bords du Nil
• Écoute ma légende : à la découverte des DIEUX DE L’ÉGYPTE ANTIQUE
• Écoute ma légende : sur l’OLYMPE OÙ VIVENT LES DIEUX
• Écoute ma légende : les 12 travaux d’HERCULE
• Écoute ma légende : la GUERRE DE TROIE
• Écoute ma légende : les MÉTAMORPHOSES D’OVIDE
• Écoute ma légende : les CHEVALIERS DE LA TABLE RONDE
• Écoute ma légende : au pays des glaces, LA MYTHOLOGIE NORDIQUE
• Écoute ma légende : déesse, héros et nymphe dans les jardins du château de VERSAILLES
• Écoute mon histoire : TOUTANKHAMON, Le trésor de la momie
• Écoute mon histoire : LE VERSAILLES DE LOUIS XIV
• Écoute mon histoire : JEAN-BAPTISTE POQUELIN dit MOLIÈRE
• Écoute mon histoire : HOKUSAÏ, Le vieux fou de dessin
• À la découverte du monde : MASQUES DU MONDE
• À la découverte du monde : MAGIES DU MONDE
• Découvre avec tes doigts : PICASSO

«  Je suis encore bien vivante. Sachez que je suis beaucoup trop occupée pour mourir maintenant… »

Toute juste débarquée des États-Unis, Joséphine Baker triomphe dans la « Revue Noire », gagnant ainsi le droit de s’affirmer dans le monde. Jouant du goût des parisiens de l’époque pour l’exotisme, elle popularise conga et jazz. Se méfiant de la répétition, elle sait aussi varier les genres et les répertoires, passant du music-hall à l’opérette. Marquée par la ségrégation, elle fait de la lutte contre le racisme le combat de sa vie. Ainsi, pendant la seconde guerre mondiale, elle s’engage en tant « qu’honorable correspondante » aux côtés de la France Libre et de De Gaulle qu’elle admire profondément. N’hésitant pas à se mettre en danger, Joséphine Baker mène de front soutien aux troupes et activités d’espionnage. Après la guerre, la sous-lieutenant Baker, poursuit l’oeuvre de sa vie en multipliant ses engagements, tant auprès des institutions que des Hommes, comme en témoigne sa présente aux côtés de Martin Luther King. Son combat est aussi à l’origine de l’adoption de douze enfants qui seront élevées au château des Millandes, formant la « tribu arc-en-ciel ». Le 30 novembre 2021, Joséphine Baker a fait son entré au Panthéon, ultime hommage de la France à celle qui la considérait comme «  le pays de la liberté » où mener à bien son engagement humaniste.

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

« En tout j’obéis à la nature et jamais je ne prétends lui commander« .

La porte de l’enfer, les bourgeois de Calais mais aussi l’Homme qui marche ou le Balzac, Auguste Rodin est le concepteur d’œuvres majeures qui firent entrer la sculpture dans une autre dimension. Ne cessant jamais de se renouveler et de repousser les limites du plâtre et de la terre, l’artiste donne vie à la matière. Entre scandales et modernité, à quoi tient la singularité d’Auguste Rodin ?

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« Le plus important aux Jeux olympiques n’est pas de gagner mais de participer, car l’important dans la vie ce n’est point le triomphe mais le combat. »

Manifestation internationale la plus médiatisée, les Jeux Olympiques fascinent des millions de spectateurs. Mais comment cette aventure a-t-elle commencé ? En 776 avant notre ère, à Olympie, se déroulent des jeux qui ont pour but de célébrer la grandeur des Dieux. Leur inspirateur ne serait autre qu’Hercule. La fin de la période antique marque la fin de ces épreuves sportives. Il faut attendre 1896 pour que, à l’initiative de Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques renaissent sous leur forme moderne. En quoi cette compétition, riche en exploits et mêlant petite et grande Histoire, reflète-t-elle les évolutions sociales et sportives de l’époque actuelle ?

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« La sensibilité est la seule chose qui compte et c’est par cette voie que l’art, donc le suprématisme, parvient à l’expression pure sans représentation. »

En 1897 ouvre à Vitebsk une école appelée à révolutionner l’art moderne. Chagall en est le directeur avant l’arrivée de Kasimir Malévitch qui, accompagné de Lissitzky, en fait le laboratoire d’un nouveau courant artistique : le suprématisme, dont le but est de donner à voir le caractère infini de l’espace. Le rêve d’un mode suprématiste, dans lequel la sensation l’emporte sur le matériel, ne pouvait-il être qu’une utopie ?

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« La disposition spatiale de la Bourse de commerce est conçue pour provoquer un dialogue tendu et plus subtil entre l’ancien et le nouveau. »

Jeff Koons, Martial Raysse, Auguste Rodin, David Hammons, Giuseppe Penone, Maurizio Cattelan figurent parmi d’autres dans la collection Pinault. Au printemps 2021 c’est dans une bourse de commerce refaite à neuf que l’art contemporain s’expose pour mieux bousculer les visiteurs. N’est-ce pas le propre de l’art que d’émouvoir, d’éblouir et celui du lieu d’exposition de permettre le partage ?

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« Le street art est au XXI^e siècle, ce que l’art rupestre est à la préhistoire. »

Si aujourd’hui le street art investit les murs de nos villes de manière de plus en plus officielle, ce ne fut pas toujours le cas. Née dans les années 1960, cette nouvelle forme d’art trouve son origine dans les graffitis new-yorkais ou l’affichisme parisien. De Samo à Mike 171 en passant par Blek the rat ou Ernest Pignon-Ernest, les premiers artistes de la rue proposent une nouvelle façon d’appréhender leur pratique. Comment pochoirs, aérosols et rubans adhésifs ont-ils révolutionné notre approche de l’art ?

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« Vous avez beaucoup de chance, Cavalier, de voir le cardinal Maffeo Barberini pape, mais nous avons plus de chance encore d’avoir sous notre pontificat le Cavalier Bernin. »

Au XVII^e siècle, Rome connaît de profonds bouleversements urbanistiques. De nouveaux bâtiments surgissent de terre consacrant un style nouveau, exubérant et superbe : le baroque. Églises et palais se remplissent d’œuvres d’art et parent la ville éternelle de leur magnificence. Que serait Rome aujourd’hui sans les créations de Caravage, Le Bernin ou Borromini ?

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