Les expositions parisiennes

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Voici un petit aperçu, non exhaustif, des expositions parisiennes que je vous propose de découvrir en visites guidées avec Les Têtes de l’art – visites.

Musée du quai Branly (37 quai Branly, 75007 Paris)

  • Senghor et les arts, réinventer l’universel (7 février – 19 novembre 2023)
  • Bollywood superstars, histoire d’un cinéma indien (26 septembre – 14 janvier 2023)
  • Kehinde Wiley dédale du pouvoir (26 septembre – 14 janvier 2023)
  • Voyage chamanique, arts visionnaires d’Amazonie péruvienne (14 novembre 2023 – 31 mars 2024)
  • Aztèques (4 avril – 9 septembre 2024)

Musée Guimet (6 place d’Iéna, 75016 Paris)

  • Médecines d’Asie (17 mai – 18 septembre 2023)

Musée Cernuschi (7 avenue Velasquez, 75008 Paris)

  • Henri Cernuschi, un collection au temps du japonisme (6 octobre 2023 – 4 février 2024)

Institut du monde arabe (1 rue des Fossés Saint-Bernard, 75005 Paris)

  • Parfums d’Orient (26 septembre 2023 – janvier 2024)
  • Les avants-gardes arabes et Picasso (mars – juillet 2024)

Musée du Louvre (1 Rue de la Légion d’Honneur, 75007 Paris)

  • Naples à Paris, Le Louvre invite le musée de Capodimonte (7 juin 2023 – 8 janvier 2024)
  • Les trésors de Notre-Dame, des origines à Viollet-le-Duc (19 octobre 2023 – 19 février 2024)
  • L’Olympisme, une invention moderne (7 avril – 11 septembre 2024)

Centre Pompidou (Place Georges-Pompidou, 75004 Paris)

  • Picasso. Dessiner à l’infini (18 octobre 2023 – 22 janvier 2024)
  • Constantin Brancusi (27 mars – 1er juillet 2024)
  • Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely et Pontus Hulten (24 avril – 19 août 2024)
  • Surréalisme, l’exposition du centenaire (4 septembre 2024 – 6 janvier 2025)
  • Paris noir (08 janvier – 30 juin 2025)
  • Henri Matisse. Peinture sans limite (12 mars – 30 juin 2025)

Bourse de commerce (2 Rue de Viarmes, 75001 Paris)

  • Mythologies américaines (à partir du 20 septembre 2023)

Fondation Cartier pour l’art contemporain (261 boulevard Raspail , 75014 Paris)

  • Ron Mueck (8 juin – 13 novembre 2023)

Musée d’Orsay (1 Rue de la Légion d’Honneur, 75007 Paris)

  • Louis Janmot. Le poète de l’âme (12 septembre 2023 – 7 janvier 2024)
  • Van Gogh à Auvers sur Oise, les derniers mois (30 octobre 2023 – 4 février 2024)
  • Paris 1874. L’instant impressionniste (25 mars – 8 juillet 2024)
  • Gustave Caillebotte (automne 2024)

Musée de l’Orangerie (Jardin Tuileries, 75001 Paris)

  • Amedeo Modigliani, un peintre et son marchand (20 septembre 2023 – 15 janvier 2024)

Petit Palais (Avenue Winston Churchill, 75008 Paris)

  • Paris des modernes (14 novembre 2023 – 14 avril 2024)

Musée d’art moderne de la ville de Paris (11 avenue du Président Wilson, 75016 Paris)

  • Nicolas de Staël (15 septembre 2023 – 21 janvier 2024)

Musée de l’armée – Invalides (129 rue de Grenelle, 75007 Paris)

  • Victoire ! (11 octobre 2023 – 28 janvier 2024)

Musée Marmottan (2 rue Louis Boilly, 75016 Paris)

  • Berthe Morisot (18 octobre 2023 – 10 mars 2024)
  • En jeu ! Les artistes et le sport (3 avril – 1er septembre)

Musée du Luxembourg (Jardin Tuileries, 75001 Paris)

  • Gertrude Stein et Picasso. L’invention d’un langage (13 septembre 2023 – 28 janvier 2024)

Musée Maillol (61 de la rue de Grenelle, 75007 Paris)

  • Elliott Erwin (23 mars – 24 septembre 2023)
  • Chéri Samba dans la collection Jean Pigozzi (17 octobre – 2023)

Musée des Arts Décoratifs  (107 rue de Rivoli, 75001 Paris)

  • Des cheveux et des poils (5 avril – 17 septembre 2023)
  • Mode et Sport, d’un podium à l’autre (20 septembre 2023 – 7 avril 2024)

Bibliothèque nationale de France, site Richelieu  (5 rue Vivienne, 75002 Paris)

  • Degas en noir en blanc (30 mai – 3 septembre 2023)

Château de Versailles  (Place d’armes, 78000 Versailles)

  • Horace Vernet (14 novembre 2023 – 17 mars 2024)

Grande Halle de la Villette  (211 avenue Jean Jaurès, 75019 Paris)

  •  Ramsès – l’or des Pharaons (17 avril – 6 septembre 2023)

Grand Palais  (3 avenue du général Einsenhower, 75008 Paris)

  •  Dakar – Paris 1966 (printemps 2025)

 

 

Le Musée national des arts et métiers, le Louvre des techniques

by Les têtes de l'art

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Mais en quoi sont ces poils de lion ?

Fondé en 1794 dans un quartier ouvrier de Paris par l’Abbé Grégoire, le musée national des Arts et métiers est souvent surnommé le Louvre des techniques en raison de la grande richesse de ses collections. Explorant l’histoire des sciences, le musée abrite pièces historiques, créations majeures et magiques ou plus surprenantes et originales qui permettent de comprendre l’évolution, non seulement des techniques, mais aussi de la société du XVIIe siècle à nos jours.

  • Ÿ Visite découverte des collections
  • Ÿ Visite des différents départements du musée (instruments scientifiques, matériaux, construction, communication, énergie, mécanique, transport)
  • Ÿ Visite des expositions temporaires

Guide agrée par le Musée des Arts et Métiers

La visite guidée de musée  dure de 1 h 30 à 2h

© Les Têtes de l’art – visites

Conférences et visioconférences

Voici le catalogue de mes visioconférences. La durée d’une visioconférence varie de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

Arts et civilisations

Arts et cultures d’Asie

Archéologie

Histoire

Histoire de la mode

Photographie et cinéma

Histoire de la peinture

Histoire de la sculpture

Patrimoine et musées

Histoire de l’art

Art et littérature

Jeune public

Joséphine Baker : une artiste engagée aux mille vies

«  Je suis encore bien vivante. Sachez que je suis beaucoup trop occupée pour mourir maintenant… »

Toute juste débarquée des États-Unis, Joséphine Baker triomphe dans la « Revue Noire », gagnant ainsi le droit de s’affirmer dans le monde. Jouant du goût des parisiens de l’époque pour l’exotisme, elle popularise conga et jazz. Se méfiant de la répétition, elle sait aussi varier les genres et les répertoires, passant du music-hall à l’opérette. Marquée par la ségrégation, elle fait de la lutte contre le racisme le combat de sa vie. Ainsi, pendant la seconde guerre mondiale, elle s’engage en tant « qu’honorable correspondante » aux côtés de la France Libre et de De Gaulle qu’elle admire profondément. N’hésitant pas à se mettre en danger, Joséphine Baker mène de front soutien aux troupes et activités d’espionnage. Après la guerre, la sous-lieutenant Baker, poursuit l’oeuvre de sa vie en multipliant ses engagements, tant auprès des institutions que des Hommes, comme en témoigne sa présente aux côtés de Martin Luther King. Son combat est aussi à l’origine de l’adoption de douze enfants qui seront élevées au château des Millandes, formant la « tribu arc-en-ciel ». Le 30 novembre 2021, Joséphine Baker a fait son entré au Panthéon, ultime hommage de la France à celle qui la considérait comme «  le pays de la liberté » où mener à bien son engagement humaniste.

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Auguste Rodin, le père de la sculpture moderne

« En tout j’obéis à la nature et jamais je ne prétends lui commander« .

La porte de l’enfer, les bourgeois de Calais mais aussi l’Homme qui marche ou le Balzac, Auguste Rodin est le concepteur d’œuvres majeures qui firent entrer la sculpture dans une autre dimension. Ne cessant jamais de se renouveler et de repousser les limites du plâtre et de la terre, l’artiste donne vie à la matière. Entre scandales et modernité, à quoi tient la singularité d’Auguste Rodin ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Petites et grandes histoires des Jeux Olympiques

« Le plus important aux Jeux olympiques n’est pas de gagner mais de participer, car l’important dans la vie ce n’est point le triomphe mais le combat. »

Manifestation internationale la plus médiatisée, les Jeux Olympiques fascinent des millions de spectateurs. Mais comment cette aventure a-t-elle commencé ? En 776 avant notre ère, à Olympie, se déroulent des jeux qui ont pour but de célébrer la grandeur des Dieux. Leur inspirateur ne serait autre qu’Hercule. La fin de la période antique marque la fin de ces épreuves sportives. Il faut attendre 1896 pour que, à l’initiative de Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques renaissent sous leur forme moderne. En quoi cette compétition, riche en exploits et mêlant petite et grande Histoire, reflète-t-elle les évolutions sociales et sportives de l’époque actuelle ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Quand l’abstraction fait école : Kasimir Malévitch et l’aventure de Vitebsk

« La sensibilité est la seule chose qui compte et c’est par cette voie que l’art, donc le suprématisme, parvient à l’expression pure sans représentation. »

En 1897 ouvre à Vitebsk une école appelée à révolutionner l’art moderne. Chagall en est le directeur avant l’arrivée de Kasimir Malévitch qui, accompagné de Lissitzky, en fait le laboratoire d’un nouveau courant artistique : le suprématisme, dont le but est de donner à voir le caractère infini de l’espace. Le rêve d’un mode suprématiste, dans lequel la sensation l’emporte sur le matériel, ne pouvait-il être qu’une utopie ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Quand la création dialogue avec le patrimoine : Ouverture à la Pinault collection

« La disposition spatiale de la Bourse de commerce est conçue pour provoquer un dialogue tendu et plus subtil entre l’ancien et le nouveau. »

Jeff Koons, Martial Raysse, Auguste Rodin, David Hammons, Giuseppe Penone, Maurizio Cattelan figurent parmi d’autres dans la collection Pinault. Au printemps 2021 c’est dans une bourse de commerce refaite à neuf que l’art contemporain s’expose pour mieux bousculer les visiteurs. N’est-ce pas le propre de l’art que d’émouvoir, d’éblouir et celui du lieu d’exposition de permettre le partage ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

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La rue comme terrain de jeu : les pionniers du Street Art

« Le street art est au XXIe siècle, ce que l’art rupestre est à la préhistoire. »

Si aujourd’hui le street art investit les murs de nos villes de manière de plus en plus officielle, ce ne fut pas toujours le cas. Née dans les années 1960, cette nouvelle forme d’art trouve son origine dans les graffitis new-yorkais ou l’affichisme parisien. De Samo à Mike 171 en passant par Blek the rat ou Ernest Pignon-Ernest, les premiers artistes de la rue proposent une nouvelle façon d’appréhender leur pratique. Comment pochoirs, aérosols et rubans adhésifs ont-ils révolutionné notre approche de l’art ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Le palais royal est un beau quartier

Quels sont les derniers éléments rappelant la galerie des Proues ?

Regroupant un palais, un jardin et un théâtre, le Palais royal devient à partir de 1692 un haut lieu des plaisirs de la capitale française. Il est également à l’époque au centre d’une importante opération immobilière qui confère aux bâtiments contigus une grande cohérence architecturale. La liberté qui y règne en fait un haut lieu de la Révolution. S’il s’assagit sous la Restauration, son histoire ne s’arrête pas à la mort de Louis-Philippe. La Comédie française y prend ses quartiers à la fin du XIXe siècle. Plus proche de nous, Daniel Buren y installe ses Deux plateaux, permettant la confrontation du classique et du contemporain.

La visite guidée du quartier dure 1 h30. La visite guidée peut inclure les passages couverts et dans ce cas se trouve rallongée de 1h.

© Les Têtes de l’art – visites