Les expositions parisiennes

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Voici un petit aperçu, non exhaustif, des expositions parisiennes que je vous propose de découvrir en visites guidées avec Les Têtes de l’art – visites.

Musée du quai Branly (37 quai Branly, 75007 Paris)

  • Zombies, la mort n’est pas une fin (8 octobre 2024 – 16 février 2025)
  • Objets en question (11 février – 22 juin)
  • Au fil de l’or. L’art de se vêtir de l’orient au soleil levant (11 février – 6 juillet 2025)
  • Dakar-Djibouti : contre-enquêtes (15 avril – 14 septembre 2025

Musée de l’homme (17 place du Trocadéro et du 11 novembre, 75116 Paris)

  • Migration, une odyssée humaine (27 novembre 2024 – 8 juin 2025)

Musée Guimet (6 place d’Iéna, 75016 Paris)

  • L‘or des Ming, fastes et beauté de la Chine impériale (XIVe-XVIIe siècle) (18 septembre 2024 – 13 janvier 2025)
  • La Chine des Tang (10 novembre 2024 – 3 mars 2025)

Musée du Louvre (Rue de Rivoli, 75001 Paris)

  • Figures du fou (16 octobre 2024 – 3 février 2025)

Musée Jacquemart-André (158 boulevard Haussmann, 75008 Paris)

  • Chefs d’œuvre de la collection Borghèse (6 septembre 2024 – 5 janvier 2025)
  • Artemisia Gentileschi (14 février – 29 juin 2025)

Musée Rodin (77 rue de Varennes, 75007 Paris)

  • Chefs d’œuvre de la collection Borghèse (6 septembre 2024 – 5 janvier 2025)
  • Corps in-visibles (15 octobre 2024 – 2 mars 2025)

Centre Pompidou (Place Georges-Pompidou, 75004 Paris)

  • Surréalisme, l’exposition du centenaire (4 septembre 2024 – 6 janvier 2025)
  • Suzanne Valadon (15 janvier – 26 mai 2025)
  • Paris noir (19 mars – 30 juin 2025)

Musée d’art moderne de la ville de Paris (11 avenue du président Wilson, 75016 Paris)

  • Matisse et Marguerite, le regard d’un père (4 avril – 24 août 2025)
  • Gabrielle Münter (avril – août 2025)

Bourse de commerce (2 Rue de Viarmes, 75001 Paris)

  • Arte povera (9 octobre 2024 – 24 mars 2025)

Conciergerie (2 boulevard du Palais, 75001 Paris)

  • Révélation ! Art contemporain du Bénin (4 octobre 2024 – 5 janvier 2025)

Musée Picasso (5 rue de Thorigny, 75003 Paris)

  • Jackson Pollock (15 octobre 2024 – 19 janvier 2025)
  • L’art dégénéré : le procès de l’art moderne sous le nazisme (18 février – 15 mai 2025)

Musée d’Orsay (1 Rue de la Légion d’Honneur, 75007 Paris)

  • Gustave Caillebotte, peindre les hommes (8 octobre 2024 – 19 janvier 2005

Grand Palais  (3 avenue du général Einsenhower, 75008 Paris)

  • Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely et Pontus Hulten (6 juin 2025 – 4 janvier 2026)
  • Art brut (6 juin – 21 septembre 2025)
  • Henri Matisse 1941-1954, la couleur sans limite (10 mars – 19 juillet 2026)

Musée de Cluny (28 rue Du Sommerard, 75005 Paris)

  • Faire parler les pierres. Sculptures médiévales de Notre Dame (19 novembre 2024 – 16 mars 2025)
  • La bibliothèque médiévale de Notre-Dame de Paris (19 novembre 2024 – 16 mars 2025)

Musée de l’orangerie (Jardin des Tuileries, 75001 Paris)

  • Collection Berrgruen, un marchand et sa collection (Picasso, Klee, Matisse, Giacometti) (16 octobre 2024 – 27 janvier 2025)
  • Dans le flou, une autre vision de l’art de 1945 à nos jours (30 avril – 18 août 2025)

Musée Marmottan (2 rue Louis Boilly, 75016 Paris)

  • Le trompe-l’oeil, de 1520 à nos jours (17 octobre 2024 – 2 mars 2025)
  • Le sommeil (9 octobre 2025 – 1er mars 2026)

Musée du Luxembourg (Jardin Tuileries, 75001 Paris)

  • Tarsila Do Amaral (9 octobre 2024 – 5 février 2025)

Musée Maillol (61 de la rue de Grenelle, 75007 Paris)

  • Une femme d’avant-garde, Nadia Léger (8 novembre 2024 – 23mars 2025)
  • Robert Doisneau

Musée des Arts Décoratifs  (107 rue de Rivoli, 75001 Paris)

  • L’intime, de la chambre aux réseaux sociaux du XVIIIe siècle à nos jours (16 octobre 2024 – 30 mars 2025)
  • Mon ours en peluche (4 décembre – 22 juin 2025)

 

 

Le Musée national des arts et métiers, le Louvre des techniques

by Les têtes de l'art

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Mais en quoi sont ces poils de lion ?

Fondé en 1794 dans un quartier ouvrier de Paris par l’Abbé Grégoire, le musée national des Arts et métiers est souvent surnommé le Louvre des techniques en raison de la grande richesse de ses collections. Explorant l’histoire des sciences, le musée abrite pièces historiques, créations majeures et magiques ou plus surprenantes et originales qui permettent de comprendre l’évolution, non seulement des techniques, mais aussi de la société du XVIIe siècle à nos jours.

  • Ÿ Visite découverte des collections
  • Ÿ Visite des différents départements du musée (instruments scientifiques, matériaux, construction, communication, énergie, mécanique, transport)
  • Ÿ Visite des expositions temporaires

Guide agrée par le Musée des Arts et Métiers

La visite guidée de musée  dure de 1 h 30 à 2h

© Les Têtes de l’art – visites

Conférences et visioconférences

Voici le catalogue de mes visioconférences. La durée d’une visioconférence varie de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

Arts et civilisations

Arts et cultures d’Asie

Archéologie

Histoire

Histoire de la mode

Photographie et cinéma

Histoire de la peinture

Histoire de la sculpture

Patrimoine et musées

Histoire de l’art

Art et littérature

Jeune public

Joséphine Baker : une artiste engagée aux mille vies

«  Je suis encore bien vivante. Sachez que je suis beaucoup trop occupée pour mourir maintenant… »

Toute juste débarquée des États-Unis, Joséphine Baker triomphe dans la « Revue Noire », gagnant ainsi le droit de s’affirmer dans le monde. Jouant du goût des parisiens de l’époque pour l’exotisme, elle popularise conga et jazz. Se méfiant de la répétition, elle sait aussi varier les genres et les répertoires, passant du music-hall à l’opérette. Marquée par la ségrégation, elle fait de la lutte contre le racisme le combat de sa vie. Ainsi, pendant la seconde guerre mondiale, elle s’engage en tant « qu’honorable correspondante » aux côtés de la France Libre et de De Gaulle qu’elle admire profondément. N’hésitant pas à se mettre en danger, Joséphine Baker mène de front soutien aux troupes et activités d’espionnage. Après la guerre, la sous-lieutenant Baker, poursuit l’oeuvre de sa vie en multipliant ses engagements, tant auprès des institutions que des Hommes, comme en témoigne sa présente aux côtés de Martin Luther King. Son combat est aussi à l’origine de l’adoption de douze enfants qui seront élevées au château des Millandes, formant la « tribu arc-en-ciel ». Le 30 novembre 2021, Joséphine Baker a fait son entré au Panthéon, ultime hommage de la France à celle qui la considérait comme «  le pays de la liberté » où mener à bien son engagement humaniste.

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Auguste Rodin, le père de la sculpture moderne

« En tout j’obéis à la nature et jamais je ne prétends lui commander« .

La porte de l’enfer, les bourgeois de Calais mais aussi l’Homme qui marche ou le Balzac, Auguste Rodin est le concepteur d’œuvres majeures qui firent entrer la sculpture dans une autre dimension. Ne cessant jamais de se renouveler et de repousser les limites du plâtre et de la terre, l’artiste donne vie à la matière. Entre scandales et modernité, à quoi tient la singularité d’Auguste Rodin ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Petites et grandes histoires des Jeux Olympiques

« Le plus important aux Jeux olympiques n’est pas de gagner mais de participer, car l’important dans la vie ce n’est point le triomphe mais le combat. »

Manifestation internationale la plus médiatisée, les Jeux Olympiques fascinent des millions de spectateurs. Mais comment cette aventure a-t-elle commencé ? En 776 avant notre ère, à Olympie, se déroulent des jeux qui ont pour but de célébrer la grandeur des Dieux. Leur inspirateur ne serait autre qu’Hercule. La fin de la période antique marque la fin de ces épreuves sportives. Il faut attendre 1896 pour que, à l’initiative de Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques renaissent sous leur forme moderne. En quoi cette compétition, riche en exploits et mêlant petite et grande Histoire, reflète-t-elle les évolutions sociales et sportives de l’époque actuelle ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Quand l’abstraction fait école : Kasimir Malévitch et l’aventure de Vitebsk

« La sensibilité est la seule chose qui compte et c’est par cette voie que l’art, donc le suprématisme, parvient à l’expression pure sans représentation. »

En 1897 ouvre à Vitebsk une école appelée à révolutionner l’art moderne. Chagall en est le directeur avant l’arrivée de Kasimir Malévitch qui, accompagné de Lissitzky, en fait le laboratoire d’un nouveau courant artistique : le suprématisme, dont le but est de donner à voir le caractère infini de l’espace. Le rêve d’un mode suprématiste, dans lequel la sensation l’emporte sur le matériel, ne pouvait-il être qu’une utopie ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Quand la création dialogue avec le patrimoine : Ouverture à la Pinault collection

« La disposition spatiale de la Bourse de commerce est conçue pour provoquer un dialogue tendu et plus subtil entre l’ancien et le nouveau. »

Jeff Koons, Martial Raysse, Auguste Rodin, David Hammons, Giuseppe Penone, Maurizio Cattelan figurent parmi d’autres dans la collection Pinault. Au printemps 2021 c’est dans une bourse de commerce refaite à neuf que l’art contemporain s’expose pour mieux bousculer les visiteurs. N’est-ce pas le propre de l’art que d’émouvoir, d’éblouir et celui du lieu d’exposition de permettre le partage ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

La rue comme terrain de jeu : les pionniers du Street Art

« Le street art est au XXIe siècle, ce que l’art rupestre est à la préhistoire. »

Si aujourd’hui le street art investit les murs de nos villes de manière de plus en plus officielle, ce ne fut pas toujours le cas. Née dans les années 1960, cette nouvelle forme d’art trouve son origine dans les graffitis new-yorkais ou l’affichisme parisien. De Samo à Mike 171 en passant par Blek the rat ou Ernest Pignon-Ernest, les premiers artistes de la rue proposent une nouvelle façon d’appréhender leur pratique. Comment pochoirs, aérosols et rubans adhésifs ont-ils révolutionné notre approche de l’art ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

Le palais royal est un beau quartier

Quels sont les derniers éléments rappelant la galerie des Proues ?

Regroupant un palais, un jardin et un théâtre, le Palais royal devient à partir de 1692 un haut lieu des plaisirs de la capitale française. Il est également à l’époque au centre d’une importante opération immobilière qui confère aux bâtiments contigus une grande cohérence architecturale. La liberté qui y règne en fait un haut lieu de la Révolution. S’il s’assagit sous la Restauration, son histoire ne s’arrête pas à la mort de Louis-Philippe. La Comédie française y prend ses quartiers à la fin du XIXe siècle. Plus proche de nous, Daniel Buren y installe ses Deux plateaux, permettant la confrontation du classique et du contemporain.

La visite guidée du quartier dure 1 h30. La visite guidée peut inclure les passages couverts et dans ce cas se trouve rallongée de 1h.

© Les Têtes de l’art – visites