Des artistes chez le roi, l’art contemporain s’invite à Versailles

« Le château de Versailles est le lieu de l’art par excellence, un lieu dans lequel les artistes se sont toujours sentis chez eux ».

Jeff Koons fut le premier à ouvrir le bal royal. Depuis, d’autres artistes : Murakami, Bernar Venet, Joanna Vasconcelos ou encore Lee Ufan, se sont succédés sous les ors du Palais des rois de France et dans les allées de ses jardins. Scandale ! Pourtant, n’était-ce pas la volonté même de Louis XIV de promouvoir les artistes ?

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Paris je t’aime… au cinéma

« Paris is Always a good idea ! »

Paris et le cinéma ? Une histoire longue et passionnée ! De la Tour Eiffel à Montmartre en passant par les bords de Seine, la ville a servi de toile de fond à de nombreux réalisateurs, quand, dépassant le stade du décor, elle ne devient pas un protagoniste. Citons, entre autres, Marcel Carmé, Jean-Luc Godard, Woody Allen, Jean Jeunet, Stanley Donen… Ils ont posé leur caméra pour suivre les aventures d’Audrey Hepburn, Gene Kelly, Lino Ventura ou Ratatouille. Comment expliquer cette histoire d’amour entre le 7e art et la ville lumière ?

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La première guerre mondiale dans les collections du musée de l’armée Invalides

Le 11 novembre 1918 à 11 h retentit la sonnerie du clairon qui mettait fin à quatre années d’un affrontement d’une ampleur sans précédent. Et si, pour commémorer l’armistice, nous évoquions la Grande Guerre à travers les collections du département que lui consacre le musée de l’Armée ?

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Une petite histoire du métro parisien

« Les chantiers du métro se dressaient un peu partout comme des forteresses de terre glaise et de planches armées d’une artillerie de grues

Si Paris tarda à développer un chemin de fer métropolitain, la Ville se dota en deux décennies du réseau le plus dense et le plus moderne. Il a fallu pour cela gagner la course sur l’ouverture de l’Exposition Universelle de 1900 et réaliser des exploits techniques sans précédent. Embarquons à bord d’une nostalgique rame Sprague-Thombson ou du moderne MP05 pour découvrir l’histoire de quelques lignes, parcourir les couloirs interdits et réveiller les stations fantômes.

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Rose Valland, au nom de l’art

1940… La France a perdu la guerre. Comme dans les autres pays d’Europe assujettis, les Nazis organisent le pillage méthodique des biens des Juifs. Assistante de conservation au musée du Jeu de Paume où les œuvres spoliées sont entreposées avant leur envoi en Allemagne Rose Valland garde la trace de tous les mouvements. Revêtant après la guerre l’uniforme de l’armée française, elle lutte pour le retour de ces œuvres et leur restitution. La Résistance, ce serait donc aussi risquer sa vie pour sauver des œuvres d’art ?

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Ousmane Sow, sculpteur du monde

« Ce qui m’intéresse c’est la vie. Que les gens ressentent cette sorte de flux qui passe entre les sculptures et eux. »

Venu tardivement à son art, Ousmane Sow se fait sculpteur des corps monumentaux. Délaissant les matériaux traditionnels, il utilise le fer, la paille, le jute pour rendre hommage à la grandeur des peuples du monde et aux figures historiques qui ont marqué leur recherche de la liberté. Ces matières banales ne deviennent-elle pas vivantes sous ses doigts ?

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Une autre façon de voir le monde, le cubisme

« Tout dans la nature peut être réduit au cylindre et au cône. »

En parlant de petits cubes pour caractériser les œuvres géométriques de Braque et de Picasso, Henri Matisse donne son nom au mouvement auquel participent bientôt Léger, Brancusi, Gris ou les Delaunay. Par la recherche d’une représentation totale de la réalité, les cubistes révolutionnent l’art figuratif. En allant toujours plus avant dans la géométrisation des formes, n’est-ce pas notre perception du monde qu’ils questionnent ?

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Jackson Pollock, l’aventure de l’action painting

« Quand je suis dans mon tableau, je ne suis pas conscient de ce que je fais. »

Père de l’expressionnisme abstrait, Jackson Pollock refusait que l’on qualifie son art d’abstrait. En faisant du geste le cœur de sa pratique, allant jusqu’à à se coucher sur la toile posée au sol, ne lui confère-t-il pas une énergie nouvelle ?

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Le vrai du faux, une histoire de faussaires

« N’achetez jamais d’originaux dont les faux sont au Louvre ! »

D’aucuns, comme Michel-Ange, sont des artistes célèbres. D’autres sont des personnages de roman dignes d’Arsène Lupin. Motivés par l’attrait du gain, la soif de reconnaissance ou le plaisir de berner les experts, hantise des collectionneurs et des musées, les faussaires ont toujours existé. Certains faux sont aussi connus que des originaux, tandis que certains faussaires s’avèrent être de véritables artistes. Entre vrais chefs-d’œuvre, pastiches et imitations, comment faire la différence ?

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Henri Cartier-Bresson, L’instant décisif

« La photographie est une réponse immédiate à une interrogation spirituelle. »

La carrière de Henri Cartier-Bresson débute sous le signe du surréalisme et de la recherche artistique avant de prendre un tournant plus politique dans les années 1930. Après-guerre, il participe à la fondation Magnum et se consacre pleinement au photojournalisme. Le charme de ses clichés tient-il à sa capacité à saisir « le moment » ou à celle d’impressionner le spectateur comme une plaque photographique ?

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