« Le cinéma, comme la peinture, montre l’invisible. »

Certains cinéastes le revendiquent : l’art pictural est l’une de leur principale source d’inspiration, qu’il s’agisse de la vie tumultueuse des artistes ou de leurs œuvres. Ce sont les peintres qui ont appris aux réalisateurs le traitement de la lumière et l’importance du décor. Orson Welles, Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Peter Jackson, pour n’en citer que quelques-uns parsèment leurs films d’allusions aux chefs d’œuvre de la peinture. Le cinéma n’est-il pas une occasion de donner vie à l’art immobile de la peinture ?

La durée est modulable de 45 minutes à 1h30 avec un temps d’échanges.

© Les Têtes de l’art – visites

« Ce que j’ai appris, et qui est au fond le plus important, c’est qu’il faut toujours montrer aux enfants que c’est une très bonne chose qu’ils fassent partie de ce monde, qu’ils soient parmi nous ».

En 1985, Hayao Miyazaki et Isao Takahata fondent les mythiques studios Ghibli. Du Château dans le ciel à la Tortue rouge en passant par Le voyage de Chihiro, le studio a révolutionné le paysage de l’animation moderne. À quoi tient la profonde originalité des artisans animateurs Ghibli ?

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« Paris is Always a good idea ! »

Paris et le cinéma ? Une histoire longue et passionnée ! De la Tour Eiffel à Montmartre en passant par les bords de Seine, la ville a servi de toile de fond à de nombreux réalisateurs, quand, dépassant le stade du décor, elle ne devient pas un protagoniste. Citons, entre autres, Marcel Carmé, Jean-Luc Godard, Woody Allen, Jean Jeunet, Stanley Donen… Ils ont posé leur caméra pour suivre les aventures d’Audrey Hepburn, Gene Kelly, Lino Ventura ou Ratatouille. Comment expliquer cette histoire d’amour entre le 7^e art et la ville lumière ?

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Le 11 novembre 1918 à 11 h retentit la sonnerie du clairon qui mettait fin à quatre années d’un affrontement d’une ampleur sans précédent. Et si, pour commémorer l’armistice, nous évoquions la Grande Guerre à travers les collections du département que lui consacre le musée de l’Armée ?

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« Les chantiers du métro se dressaient un peu partout comme des forteresses de terre glaise et de planches armées d’une artillerie de grues.»

Si Paris tarda à développer un chemin de fer métropolitain, la Ville se dota en deux décennies du réseau le plus dense et le plus moderne. Il a fallu pour cela gagner la course sur l’ouverture de l’Exposition Universelle de 1900 et réaliser des exploits techniques sans précédent. Embarquons à bord d’une nostalgique rame Sprague-Thombson ou du moderne MP05 pour découvrir l’histoire de quelques lignes, parcourir les couloirs interdits et réveiller les stations fantômes.

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1940… La France a perdu la guerre. Comme dans les autres pays d’Europe assujettis, les Nazis organisent le pillage méthodique des biens des Juifs. Assistante de conservation au musée du Jeu de Paume où les œuvres spoliées sont entreposées avant leur envoi en Allemagne Rose Valland garde la trace de tous les mouvements. Revêtant après la guerre l’uniforme de l’armée française, elle lutte pour le retour de ces œuvres et leur restitution. La Résistance, ce serait donc aussi risquer sa vie pour sauver des œuvres d’art ?

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