Pourquoi n’y a-t-il qu’un numéro, le 9, dans la rue Sébastien-Bottin ?
Au XVIIe siècle, sur l’éphémère domaine de la reine Margot, est lancée la première opération immobilière privée de Paris. Un quartier nouveau d’hôtels particuliers devient le séjour des familles nobles qui délaissent le Marais ou Versailles, devenu trop
austère à leur goût. D’abord chapelle du noviciat des Dominicains, Saint-Thomas-d’Aquin devient l’église paroissiale du « noble quartier ». En retrait du boulevard Saint-Germain, elle passe souvent inaperçue ; elle renferme pourtant une intéressante collection de peintures baroques.
La visite guidée du quartier dure 2 h.
© Les Têtes de l’art – visites




Dans le cadre du seul cloître de Paris, datant du XVIIe siècle et intégralement conservé, les collections du musée permettent de comprendre l’évolution historique de la médecine aux armées en traitant des missions du soutien sanitaire et des étapes des évacuations sanitaires. La visite guidée se termine dans la Chapelle, joyau de l’architecture religieuse de la première moitié du XVIIe siècle, dont le chœur est surmonté par l’une des trois coupoles peintes de Paris, réalisée par Mignard à la demande d’Anne d’Autriche.
Si certains souverains ont choisi la basilique de Saint-Denis comme lieu de sépulture, c’est à partir de l’époque de saint Louis que l’édifice devient le cimetière officiel des rois de France. Abritant les monuments funéraires des différentes dynasties françaises, la basilique est aujourd’hui un musée de la sculpture funéraire.
Si la Sainte-Chapelle de